We were extremely lucky that the clouds agreed to make some room for the show.
ShangHai was under the rain, when we were startled by this amazing event. Thanks to everybody for the good vibes!
soundtrack: "Here comes the sun" and "Eclipse"
We were extremely lucky that the clouds agreed to make some room for the show.
ShangHai was under the rain, when we were startled by this amazing event. Thanks to everybody for the good vibes!
soundtrack: "Here comes the sun" and "Eclipse"
There’s nothing I can do, I’m still fan of Caroline’s drawings since the beginning (and that’s a couple of years already).
So here’s my new desktop’s wallpaper.
Je suis en train de mettre un peu tout à jour, de ranger, faire la poussière dans les archives, supprimer les fichiers en triple exemplaires, et je tombe sur cette vieillerie que nous avions à rendre pour le cours d’histoire et théorie du design à l’ENSAT.
Je suppose qu’il devait s’agir d’interpréter cette citation de Gilles Lipovetsky : « Aujourd’hui la “forme mode” est aux commandes de notre société ». Rien de certain à ce sujet cependant.
Donc voilà, mon rendu pour le cours d’histoire et théorie du design est en ligne, si ça peut servir à quelqu’un ou en faire marrer d’autres ; attention, c’est pur vintage.
Une fois n’est pas coutume, askohm change de peau.
Après avoir commencé la migration du weblog ainsi que sa fusion avec d’autres sites, le tout en donnant un coup de pied dans le CMS que j’avais conçu avec amour, il devenait urgent de modifier le thème par défaut.
Voilà la première étape.
Peu d’optimisation ; la feuille de style pourrait être largement simplifiée ; le code HTML, bien que valide, devra subir un gros lifting. Je n’oublie pas l’ergonomie, notamment dans l’agencement de la partie de navigation et d’informations qui mériterait d’être plus uniforme entre les pages.
Le but avoué est de fournir au visiteur ce qu’il est venu chercher : le contenu. Les bannières XXL en haut de page, bien que très jolies, auront fini par me lasser.
Il me reste encore beaucoup de travail, mais je préfère mettre en ligne, même si le travail est inachevé.
Une amie chinoise m’a confié hier qu’elle avait accès à Youtube, ainsi qu’à tous les services bloqués en Chine dès qu’un sujet politique un peu épineux pour le Gouvernement surgit (Flickr, Twitter, Facebook, tout ce qui permet un regroupement d’opinions non contrôlable).
Elle m’annonçait cela avec une certaine fierté ; celle qui signifie « Malgré ma connaissance limitée de l’informatique, je peux passer outre les pare-feu que l’on m’impose. »
Une remarque comme celle-ci peut paraître anodine. Mais si on pousse la comparaison avec les mesures que le Gouvernement français veut prendre en la matière (HADOPI, LOPPSI et consorts), on peut alors s’apercevoir que quelque soit la hauteur des barrières que l’on pourra dresser, cela n’amènera qu’un développement croissant et une plus grande facilité d’utilisation de mesures de contournements (logiciels, matériels...) ; la réponse du berger à la bergère.
Ce qui se passe déjà dans un des pays les plus stricts en matière de censure des media (mais la plupart des outils de censure sont en pâte à modeler), se profile dans le pays des droits de l’Homme. Cela pourrait être cocasse s’il ne s’agissait de viser un des principes fondamentaux de ce pays, ou de foncer tête baissée dans le mur qui est à l’origine de cette économie vacillante.
Jamais je n’aurais pensé voir la France copier la Chine.
Cela dit, ce documentaire diffusé lors de l’émission « Temps présent » sur la TSR nous rappelle que la France tente chaque jour de combler son retard sur l’Italie et la Chine.
1999‑2025 | Fabien Basmaison