… et ce n’est pas moi qui le dit le mieux (même si je fais moins de fautes de français, j’espère). La citation de François Roche qui suit illustre assez bien ce que j’en pense.
La ville était redevenu ce qu’elle n’aurait jamais du cesser d’être, une arborescence complexe, un nœud topologique libéré de toute contraintes, une milieu ou les formes se développaient en fonction des désirs, des énergies individuelles et communautaires.
Et voici ma réaction épidermique à cette citation.