En regardant Sans Soleil hier, je pensais au Japon, à Olivier et leurs ouvrage plein de poésie sur les rues de Tokyo, et ce moment où la sérendipité de la vie fait que certains parcours se croisent.
Je venais de me perdre avec plaisir dans le quartier de Arakawa, et me suis laissé guidé par mes pas jusqu’à cette passerelle improbable pour rejoindre le magnifique cimetière de Yanaka.
La suite est un moment de poésie mécanique…
De multiples trains se succèdent et se croisent les uns les autres, tel un ballet mécanique.