J’avoue, je n’ai pas tellement assisté aux conférences. J’étais dans un état second de plaisir, mais aussi de recul par rapport à des conversations qui me parlent, certes, mais dont je me sens de plus en plus éloigné techniquement. Ça doit être une de ces phases de schizophrénie professionnelle qui re-passe du côté obscur de l’architecture (pour la rime...).
Arrivé la veille de ShangHai, bien décalé mais content d’être à Paris, de voir les amis, de voir l’équipe, les uns pouvant tout à fait appartenir aux autres, le temps ne changeant rien à l’affaire, au final.
Revoir des gens excellents comme Chris, professionnel jusqu’au bout des ongles et déconneur jusqu’au fond de la pinte, se faire rassurer quant au passé, présent et futur par Monique, avoir une pensée émue pour les Stephanie qui ne sont pas là...
Au final, j’ai passé trois jours à courir, à croiser les gens plus qu’autre chose, mais sans regret : Je crois que chacun sait où il se situe, et le noyau dur sera toujours dans le coup quoiqu’il en soit (’suffit de regarder Stéphane qui commençait à s’occuper de ci de ça...).
Je persiste à penser que Paris Web est une famille, avec ses avantages et ses inconvénients, forcément.
So long boys ! :)