cinéma

Aujourd’hui, je suis allé voir My architect.

Un film qui ne parle pas d’architecture mais de rapports humains, tout simplement.

Le logo est issu des photos du kit de presse officiel :

  • “The Capital of Bangladesh with small boy” («  La capitale du Bangladesh et le petit garçon  ») ;
  • Dhaka, Bangladesh ;
  • Louis I. Kahn, architecte ;
  • (image tirée du film) ;
  • © 2003 Louis Kahn Project, Inc..

marque ta page : architecture

Pour les gens qui souhaitent comprendre certains textes, ou simplement qu’ils se demandent comment ça marche la SHOB ou la SHON, un lien vers de la documentation en ligne de LIBEL avec des petits dessins, ce qui ne gâte rien. Merci à eux de mettre ces pages gratuitement en ligne, en tout cas.

Attention toutefois, car la page est en fait (à la base) un frameset « à la con », donc l’URL ne correspond pas à ce que l’on devrait obtenir en cliquant depuis http://www.libel.fr/.

L’archifauxrhum

(en)

Ce site web est issu d’un projet étudiant pour un cours d’informatique monté avec la collaboration d’une étudiante de l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon.

Je suis intervenu peu après le lancement pour cadrer un peu le développement, trouver un hébergeur gratuit qui puisse permettre de s’affranchir de la publicité, et migrer vers un moteur de forum plus léger.

Actuellement peu actif puisque phagocyté par plusieurs autres projets (dont ce port-folio), je m’occupe principalement des mises à jour et de modération, aidé par principalement une personne.

Pascal urbain, « De la désillusion, Six cours d’architecture », Les Éditions générales, Marseille, 2001, p. 23.

  • 4) L’objet est connaissable si une compagnie humaine peut, au terme d’un débat rationnel, s’accorder sur l’ensemble des énoncés et y reconnaître l’objet considéré.
  • Prendre le livre le plus proche ;
  • Ouvrir le livre à la page 23 ;
  • Trouver la cinquième phrase ;
  • Écrire le texte sur votre journal ainsi que ces instructions.

Paris - Jour 2 / 25.02.2004 (part 2)

Nous nous rendons donc au centre Pompidou.

Je termine tant bien que mal le sandwich dans le sas d’entrée, le vigile étant de bonne humeur... On discute arts (enfin... d’une certaine méconnaissance des arts, plutôt).

Arivée dans le hall :


 erf, c’est quoi

 ?
 C’est de l’architecture.

Oui oui... L’exposition sur les architectures non standard a bien lieu ici. Ça va être un régal, je sens.

Petit coup d’oeil, puis queue pour acheter les billets... Après avoir longuement pesé le pour, puis le contre, nous en sommes venus à constater que Sophie Calle y passerait aussi...

Les places achetées, observation méticuleuse pour savoir mais comment ça marche ces

 ?. Services exposés dans le cadre de l’expo sur les A.N.S., et réalisés par des architectes, donc...

Elle a le vertige. Je trouve ça mignon, oui... Je sais pas pourquoi. Je trouve ça mignon.

Nous montons ensuite voir l’expo. de Sophie Calle ; j’ai affreusement mal aux pieds...

Arrivés en haut de l’escalator... Il fait gris. Décision est prise qu’il ferait beau une fois la visite de l’expo terminée : J’ai pas envie de prendre une photo des toits de Paris par temps gris.

Je l’emmène furtivement derrière

du dernier étage... (hou que cette phrase est ambigüe !!! :o)

L’expo est intéressante... très. Les différents concepts artistiques étant très bien mis en scènes, à mon goût. Je constate à son grand amusement que je lis doucement... Oui, je prends le temps de décortiquer chaque mot... Poussez pas les gens !

Plusieurs thèmes abordés : La rupture, les aveugles, les choses de la vie... et une analyse typologique du visiteur... entre autre le papillon (je me souviens plus des autres...).

Séance de soutien du postérieur dans les sofas du hall menant à l’expo et à la cafeteria. Nos pieds apprécient, et attendent la suite des hostilités, à savoir les A.N.S..

Le soleil a rendez-vous avec Fabien, puisque je peux apprécier les rayons filtrants par les nuages flirtant avec

. Merci à toi, mon p’tit Ra.

Aller, il faut redescendre, longer le vide et se persuader que non, il n’y avait rien d’intéressant au premier étage... :o/ Tant piche. on a plus le temps / la force.

Hop hop hop !

On regarde l’expo. Elle lit l’anglais pendant que je lis le français (elle est gentiiiiiiille), ça compense un peu. Y’a une foultitude de trucs passionnants. Des formes certes, mais aussi pas mal de concepts qui réinterprètent ou renouvellent la conception architecturale... Bon, pas le droit de prendre des photos. Tant pis, j’ai prévu d’acheter le catalogue, de toute façon... :o).

Je vais pas détailler l’expo ici, mais c’est assez hallucinant de voir comment passer d’une pure virtualité à la réalisation du bâtiment en dur peut être évidente parfois. Plein de maquettes qui expliquent les évolutions, les variantes, les retours, etc... C’était passionnant, et crevant aussi... Une légère lassitude se fait ressentir.

Aller, on rentre.

Arrivée dans la grotte Nacaresque... et enlevage de chaussures !!! (oui oui, restons en là... s’il-vous-plaît...) Bonheur.

Hop, mon disque dur amovible pour la semaine (un shuttle) reçoit mes photos... ’tain, comment je suis vernis quand même... Elle surfe, on surfe, nous surfons, vous surfez... heu... oui... Bon, tranquillette, on attend Solveig pour aller manger. Elle arrivera selon sa ponctualité légendaire, semble-t-il :o).

22:30 > Chinois. C’est bon, et j’écoute leurs histoires plus que je ne parle (oué, comme d’hab’ quoi...)... C’est étrange de rencontrer ces gens... de débarquer comme dans un torrent (bite ! J’ai pas pu résister... pardon) d’informations, de relations... Se retrouver propulsé là-dedans alors que l’on connaît déjà plus ou moins certains.

C’est pas désagréable.

Vite vite ! On file au métro avec Solveig... Un chti bisou volé à dame Naque... viteuf. VIIIIITE ! Le buuuus ! Wala, je laisse notre future globe-trotteuse Place d’Italie, et retourne chez moi... crevé.

C’était bien, vivement demain.