Parce que j’en ai eu un peu marre de faire de la 3D sans en percevoir réellement les formes, j’ai fait
(
).
… et ce n’est pas moi qui le dit le mieux (même si je fais moins de fautes de français, j’espère). La citation de François Roche qui suit illustre assez bien ce que j’en pense.
La ville était redevenu ce qu’elle n’aurait jamais du cesser d’être, une arborescence complexe, un nœud topologique libéré de toute contraintes, une milieu ou les formes se développaient en fonction des désirs, des énergies individuelles et communautaires.
Et voici ma réaction épidermique à cette citation.
Andrew Maynard, un architecte dont les réalisations ou projets me plaisent vraiment pas mal.
Je prends note du Styx valley shelter en particulier...
Trouvé via We make money not art.
Nous sommes entrés dans le Zénith après avoir un peu couru après nos places tant désirées.
Non je ne connais pas l’Afrique, Aigri est ma couleur de peau
Sur scène, Matthieu Chédid avait commencé son show. Ils étaient une bonne quinzaine à danser à perdre l’âme sur de la musique qui sonnait lourd. J’avais l’impression de rentrer chez un ami, qui foutait un putain de bon boxon avec tous ses potes.
C’était énorme. De techno à acoustique en passant par un bon vieux funk de derrière les fagots, M nous en a mis plein les yeux, et plein les oreilles.
Un décor apparemment simple, et sans trop de fioritures. Une série de petits détails qui font que non, il ne fait pas son show et basta. Il fait participer son public, et notamment Patrice, qui a bien assuré, il faut le dire.
Je crois que j’ai eu un sourire béat pendant à peu près tout le concert. Je disais à lutine tout à l’heure que pour certains concerts, j’avais presque eu envie que ça finisse, malgré une certaine qualité musicale.
Là, il n’y avait pas que de la musique.
Malgré les plus de deux heures de concert, le temps m’a semblé passer à la vitesse de l’éclair.
C’était génial.
Je suis sur un nuage, et je compte bien ne pas redescendre de suite.
En tête à tête avec moi même
Souvent j’me tâte pour trouver l’thème
En tête à tête avec moi même
J’ai pas la force de dire je je je je je
Merci.
Ce terrain d’expérimentation autour du VRML et du X3D est un petit projet conceptuel sur le lieu, l’individu et son ordinateur.
Il s’agit d’un projet visant à recomposer spatialement l’adresse de chacune des machines s’y connectant.
Chaque ordinateur sur Internet ayant une adresse IP (statique ou dynamique), il s’agit de situer cette machine parmi d’autres. Dans le cas présent, cela revient à attribuer un pseudonyme à une localisation dans un espace virtuel.
Elles résultent en partie de l’adresse IP. Disons que chaque entité se nourrit du visiteur qu’elle abrite. Par analogie, une maison laissée à l’abandon devient une ruine là où une maison habitée s’enrichit (d’une façon ou d’une autre) des attributs que voudront bien lui donner ses occupants.
1999‑2025 | Fabien Basmaison