Next step for next layout

I’m still playing around with the next layout

I got rid of the form which didn’t really make any sense in fact, sorry Opera folks. That means URL are starting to be cleaner already, and that allows me better possibilities with tweaking, with less operations on the server side. Another reason is also that rel="tag" won’t work on button elements, as far as I know, since it only matches elements with an URL.

Other things on the list will include removing some default behaviors of filters; too much options doesn’t really make things easy for users, even if graphically, it might be more interesting.

Talking about filters, I’ll have to explain how each one of them works, since clicking on a language, a section or time‑line, or a tag will not behave the same way. That gives us three categories and hopefully three different styles (colors plus other means).

I’ll also clean up these huge descendant selectors; they’re clearly not the more effective ones Web‑design ever experimented. :)

Paris‑Web 2010

(en)

Cette année est un peu spéciale pour Paris Web puisqu’il s’agit de la cinquième année consécutive que se tient cette conférence.

Paris Web devient de plus en plus gros, mais en proposant des prix abordables, elle vise toujours à rester accessible à tous ceux qui sont intéressés. Le fait que les orateurs ne sont pas payés mais défrayés implique également que les personnes présentes viennent dans un but précis, et celui‑ci n’est pas l’argent ou le réseautage.

Il y a du contenu, et c’est bien ce qui compte.

Je suis absolument honoré et heureux d’y donner une conférence en octobre, et ce sera sans aucun doute génial de se retrouver de l’autre côté de l’évènement. Pour ceux qui se soucient de où nous allons, et comment, assistez à Paris Web 2010  : un nombre conséquent d’orateurs de talents sera présent.

Toute l’équipe mérite également une Ola — Allez  ? On fait ça  ? — pour toute l’énergie qu’ils dépensent dans l’organisation.

J’ai un sourire jusqu’aux oreilles…

C’est si bon…

Depuis que superbobob a retrouvé un travail en agence, il est devenu beaucoup plus disponible sur Jabber. Outre le fait que cela me manquait, je savoure certains moments à leur juste valeur  :

Fabien
15000RMB
superbobob
c’est bon, y a 15 dedans
Fabien
88888, c’est mieux.
superbobob
15000 right mouse buttons, ça fait beaucoup de souris
Fabien
quinzeu mille right mouse buttons, nanananana nanananana naaaa…
Fabien
C’est pas une chanson  ?
Fabien
une allemande, je crois.
superbobob
sisi
superbobob
Nena Logitech
Fabien
 :)

Le logo est issu de cette illustration trouvée sur Wikipedia.

Urbanisme virtuel…

Tous les matins, je me réveille avec le 7/9 sur France Inter.

Le 03 septembre dernier, j’écoutais donc comme à mon habitude et ô joie Saint‑Denis — non c’était une spéciale Lille, en fait — et l’invité n’était autre que Christian de Portzamparc.

8:52
Stéphane Paoli
Est‑ce qu’on ne se repère pas plus par rapport aux villes et à leur identité propre que par rapport à une identité nationale ?

C’est ce que j’avais noté alors, je n’affirmerais pas que c’est ce qu’il a effectivement demandé mot pour mot.

Bon…

La question me paraissait intéressante, et je n’ai même pas écouté la réponse. Une belle réponse d’architecte pleine d’emphase et de périphrases. Mais quand même, c’est vrai que nos cultures actuelles ont de plus en plus tendance à se recentrer sur l’individu. Car si Paoli parle d’identité urbaine, qu’en est‑il lorsque l’on aborde Internet, qui justement, absout tout système de localisation, si ce n’est par la technique et les adresses IP (je ne me vois pas identifier quelqu’un par son adresse IP lors d’une conversation, ça fait trop mauvaise pub).

Identité nationale > identité urbaine > identité de quartier (Chinatown, Little Italy, etc...) > ... > individu.

Moi moi moi.

Quand je parle d’architecture virtuelle à quelqu’un qui ne s’intéresse pas forcément au sujet, la réponse pleine d’incompréhension et plutôt gênée se décline comme ça : « Mais on ne peut pas vivre dedans, c’est pas de l’architecture. »

Alors non, on ne peut pas vivre dans un écran, c’est sûr. Mais arrive‑t‑on mieux à vivre dans une feuille de papier calque ? J’ai essayé, je me suis fait engueulé parce que j’avais bousillé les plans.
Voilà, c’est malin ça.

Par contre, il est plus facile d’appréhender un espace virtuel dans la mesure où il se situe dans une représentation de notre environnement que nous avons l’habitude d’expérimenter, avec trois dimensions (essayez d’enlever vos lunettes ou de fermer les yeux pour voir s’il ne s’agit pas d’une représentation :) ).

Bon, ce n’est pas qu’une représentation, OK (ou alors il est temps de songer à nous suicider parce que cela voudrait dire que nous sommes au sein d’une matrice et que nous nourrissons des machines... erk).

Disons cependant que les datagloves et autres procédés permettent un début de sensation de l’espace virtuel qui nous entourerait, et ce de façon de plus en plus convaincante. Ne reste plus qu’à mêler biologie et informatique, et la matrice est prête.

Au final se développe une réelle identité virtuelle, dans le sens où des mécanismes de sociabilisation s’établissent, avec des notions de groupes et de hiérarchie parmi ceux‑ci, des castes ? Quand est‑il alors du quartier, de la ville, de la nation ?

On ne se groupe plus par position géographique mais par centre d’intérêt. Et « le centre d’intérêt, c’est moi ».

Heureusement qu’il existe encore de vrais altruistes pour enrayer ce débat égocentrique.

Toutes ces phrases sont assez confuses, je pense, mais c’est un début de réflexion ; des mots balancés assez vite pour avoir une base. Et ce serait un plaisir d’en parler avec des gens ouverts. Je manque encore de référence dans ce domaine.

Kill the FM remixed

(fr)

v2 of Kill the FM just hit production phase this week‑end. So yeah… exit green and welcome white.

I couldn’t help much with this version, but there’s some pieces of me inside, and I’m pretty happy I could give a hand somehow.

Congrats to Carine and all the team for the work! Keep on enchanting our ears, please!